Le scénario est très bien écrit et beaucoup plus subtil qu'il n'y paraît. Recrutement | Lire ses 156 critiques, Suivre son activité

Parasites is a brilliant film and for a thriller, it’s absolutely unpredictable (except in one big way). Publicité | There’s always an extra floor somewhere in this masterpiece. A raucous and blood-splattered social satire. Alors oui Parasite est supérieur au tout-venant, mais franchement dans le genre thriller violent et déjanté on est très loin d’un No Country for Old Men. La famille riche vit dans une grande aisance, dans l'opulence, dans un grand confort moderne, tandis que la famille pauvre doit se contenter d'un sous-sol miteux. Cependant j'y vois un léger retour en arrière par rapport à Snowpiercer sur le traitement de la lutte des classes. Remarkably, though, it gets funnier as it grows more serious, then savagely funny and finally…but we mustn’t get ahead of a movie that stays ahead of its audience every frame of the way.

Assurément.

Bong is back and on brilliant form, but he is unmistakably, roaringly furious, and it registers because the target is so deserving, so enormous, so 2019: Parasite is a tick fat with the bitter blood of class rage. On ne ressent aucune longueur pendant ces 2 heures 10. Deux familles : l'une riche et superficielle, l'autre pauvre mais malicieuse. Et quoi de plus jubilatoire que de voir la Corée d'en bas envahir cet espace avec sa tribu incongrue mais ô combien rusée.

Je m'explique, dans les deux films la thématique principale est sociale et l'opposition entre une classe dominante et une classe dominée. Le festival de Cannes, c’est terminé !

1569 abonnés

287 abonnés Globalement je dois dire que j'ai préféré la première partie du film, où le plan se met en place, parce qu'elle est plus jouissive. Comédie sociale XXL, avec ses private jokes (les actualités de Corée du Nord), Parasite est d'une richesse insensée et confirme la puissance d'un cinéaste qui n'est pas loin d'être le meilleur au monde actuellement, si tant est qu'un qu'un classement puisse être établi en la matière. The story begins as a social satire of rich and poor, as witty and sophisticated in its fashion as vintage Preston Sturges or Ernst Lubitsch. Génial ? Les héros chez Bong Joon-Ho ne sont pas toujours très intelligents et ne sentent pas très bon (quelles formidables et dramatiques variations sur le sujet dans Parasite). La réalisation est au diapason. 69 abonnés Certains passages utilisent des ralentis et cela sublime l’image. Données Personnelles | Parce que ce qui est réussi dans le film, c'est l'humiliation du bourgeois. En conclusion, Parasite est un immense film. une grande déception ! Mais disons que je trouve ça plus classique... plus classique, mais d'un côté plus tragique aussi, car il n'y a pour les pauvres que d'espoir de s'en sortir qu'en prenant la place des riches... ce que l'on sait impossible. Lire ses 2 191 critiques, Suivre son activité Difficile de décrire Parasite sans déflorer le récit à tiroirs que nous propose Bong Joon-ho. A juste titre récompensé à Cannes, par un César, et de multiples Oscars, ce film mérite effectivement une attention toute particulière. The only thing that keeps Parasite just slightly below the tier of Bong’s best work, namely The Host and his underrated and similarly themed 2000 debut film, Barking Dogs Never Bite, is the overstuffed pile-up of incident that occurs toward the end.

La première moitié du film est vraiment bonne. An exhilarating and furious indictment of class struggle, Parasite might be the masterpiece South Korea's Bong Joon-ho has been working toward his entire career.

Une critique sociale poignante, un scénario puissant et une réalisation impeccable, tout est réuni pour avoir un chef-d’œuvre. Lire ses 1 023 critiques, Suivre son activité Bong delivers a stunning return to form with this newest venture, which takes bold leaps between tenors and tone, but holds together beautifully thanks to the director’s unparalleled visual/spatial sophistication, and his unsparing social indictment. C'est vraiment un film appréciable, accessible et pourtant exigeant, il arrive à faire parfaitement du cinéma populaire de qualité où la réflexion n'est pas en reste. In our age of assembly line blockbusters, he’s a veritable treasure.

Dernier point intéressant du film : il utilise beaucoup de symboles, qui sont très repérable et très compréhensibles pour le spectateur. Humiliation qui va crescendo, puisque leur comportement est de plus en plus ridicule dans leur volonté de se distinguer des prolétaires et dans leurs manières. Le début du film se présente comme une comédie mais peu à peu, le long-métrage prend des tournures inattendues.