Il est, dans l'antiquité classique, l'oiseau de Zeus, à qui il lui arrive même de s'identifier ; son rôle de roi du ciel est également explicite chez les chamans sibériens. Le jeune et la femelle produisent un jappement en kiup pour quémander de la nourriture[6]. Quand elle arrive en France pour faire Sciences Po Paris, c’est un grand décalage qui l’attend. Dans l'usage français actuel, le nom commun aigle est masculin quand il désigne l'oiseau en général ou quand il est employé au sens figuré pour désigner un homme de génie.

Par exemple, l'aigle se retrouve sur des insignes d'unités, comme celui de l'école militaire de l'air, homologué en 1947 ou encore, l'insigne de poitrine des commandos parachutistes de l'air), homologué sous le numéro A 690). L'aigle est un prédateur grand et puissant. Ce n’est pas non plus un montagnard, mais un habitant des steppes.

Ils sont pondus à trois ou quatre jours d'intervalle, ce qui espace également les éclosions puisque la femelle commence à couver dès la ponte du premier œuf. On reconnaît immédiatement le Pygargue à tête blanche et l'Aigle royal à leur grande taille et à leur envergure qui atteint 1,8 m. Les adultes des deux espèces sont faciles à distinguer : le Pygargue à tête blanche a la tête et la queue blanches, tandis que l'Aigle royal est entièrement brun et a les pattes emplumées jusqu'aux serres.

Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés[6] en français qui n'ont pas été retenus par la nomenclature normalisée : L'aigle est le symbole de nombreux organismes et nations. En France, dès lors qu’ils ont le choix géographique, les aigles optent pour les falaises, c’est plus sûr. Signe distinctif, les ailes des aigles ont une émargination – l’espace entre chaque rémige – très découpées. Et une splendide envergure, qui peut atteindre quasiment les deux mètres chez l’aigle royal. Un nid de 6,1 m de haut pour un diamètre de 2,59 m est le plus gros connu chez l'espèce[7],[21].

Elle s’habitue à ce nouveau rythme, mais c’est la perpétuelle recherche du « reste du monde » qui la guide et la mène au journalisme. L'aigle est fortement utilisé comme symbole pour des insignes d'unités de l'Armée de l'air (bien que le symbole central de cette Armée soit l'épervier, appelé « charognard », souvent confondu avec l'aigle). Dans la péninsule Ibérique, l'aigle ibérique (Aquila adalberti), parfois considéré comme une sous-espèce de l'aigle impérial, peut également rendre l'identification difficile. Même identification chez les Aztèques, et aussi au Japon : le « Kami » dont le messager ou le support est un aigle est dénommé Aigle du céleste soleil.