La chanson, avec le même titre, la même musique, mais des paroles différentes, est chantée par Xavier Lermercier dans une revue créée par le producteur et auteur Émile Audiffred intitulée Ça reviendra qu'il donne à l'Odéon de Marseille en 19442. Les revues d'Émile Audiffred Ça reviendra!

Les mesures 6 à 9 de la partie « ténor » constituant le thème du refrain sont les mêmes que celles présentes dans l'œuvre du musicien ukrainien, « En 1947, un vibrant plaidoyer pour l'école laïque », France info, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Petit_Papa_Noël_(chanson)&oldid=167174711, Chanson interprétée par Pinocchio (chanteur virtuel), Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Fêtes et traditions/Articles liés, Portail:Loisirs et divertissements/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.

et Éclats de rire!

Les paroles évoquent la prière d'un enfant demandant au père Noël le retour de son papa, prisonnier de guerre en Allemagne3. Seul cantique laïc français, la chanson est très rapidement plébiscitée, notamment parce qu'elle répond aux instructions gouvernementales du ministre Marcel-Edmond Naegelen, qui veut supprimer les chants religieux promus par le régime de Vichy[5],[6].

La nouvelle version, orchestrée par Raymond Legrand, est interprétée pour la première fois en 1946 par Tino Rossi dans deux scènes, dont celle finale du film Destins de Richard Pottier, dans le scénario duquel elle est appelée « la berceuse ». Raymond Vincy réécrit les paroles en effaçant toute allusion à la guerre.

Les paroles évoquent la prière d'un enfant demandant au père Noël le retour de son papa, prisonnier de guerre en Allemagne[3]. « Petit papa Noël »▼▼▼ Cliquez sur le lien « PLUS » ci-dessous pour voir la description complète ▼▼▼Pour toute question ou réclamation concernant cette chaîne ou les vidéos qu'elle diffuse, veuillez contacter youtube@rendez-vous-digital.com. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tous droits réservés.http://www.youtube.com/watch?v=pgDH4x0CJyY
La musique est signée du pianiste et compositeur Henri Martinet[4].
De multiples artistes l'ont interprétée, notamment les chanteurs francophones pour enfants Karine et Rebecca, les chanteurs virtuels Pinocchio et Marilou, Chantal Goya, Dorothée, Thierry Gali, Henri Dès, mais aussi Dalida, Mireille Mathieu, la chanteuse grecque Nana Mouskouri, Claude François, Michèle Torr, Jack Lantier, Trust, Céline Dion, Roch Voisine, le baryton américain Josh Groban, Roberto Alagna, Mary J. Blige, les Chœurs de l'Armée rouge, les Chœurs d'enfants du Bolchoï, Coumba Gawlo (en franco-sénégalais), Gloria (Kids United) sur l'album L'esprit de Noël, et bien d'autres, dont Nicole Martin et Marie Michèle Desrosiers au Québec… Tino Rossi, qui demeure son emblématique interprète, détient avec ce titre le record du 45 tours le mieux vendu en France.

La dernière modification de cette page a été faite le 7 février 2020 à 21:12. En 1946, après la défection d'un groupe de chanteurs noirs nord-américains avec lequel il devait chanter un gospel pour les besoins d'un film, Tino Rossi cherche un chant de Noël français : il adopte Petit Papa Noël dès les premières notes jouées par le compositeur à la demande d'Émile Audiffred également impresario de Tino Rossi. Petit Papa Noël, chanson dont l'origine remonte à 1944[1] et que de nombreux interprètes à travers le monde ont reprise, est le plus grand succès de la chanson française et demeure, depuis 1946, celui de son créateur, Tino Rossi. Pour toute demande de licence ou d'utilisation de la bande son dans vos propres vidéos, veuillez vous rendre à l'adresse suivante : http://rendez-vous-digital.com/licensing.Copyrights © 2020 Rendez-Vous Digital / EOL Vidéos. Auteur : Comptines pour enfants - Chansons de Disney, chants de Noël, contes, fables et histoires La Rue qui Chante avec Papa Noël -Marché de Noël www.laruequichante.fr La chanson, avec le même titre, la même musique, mais des paroles différentes, est chantée par Xavier Lermercier dans une revue créée par le producteur et auteur Émile Audiffred intitulée Ça reviendra qu'il donne à l'Odéon de Marseille en 1944[2].

Les revues Çà reviendra et Éclats de rire finiront sous la pression alleman… finiront sous la pression allemande par être censurées. La musique est signée du pianiste et compositeur Henri Martinet4.