These projects are part of the Government of Djibouti’s ambitious plan to turn Djibouti into a major commercial and shipping hub for East Africa. Le rapprochement concret des gouvernements français et israélien s’est illustré de manière significative dès 1955 avec l’affaire des armes tchèques livrées à l'Égypte. Before 2035, Djibouti is expected to finish several major infrastructure projects including: a natural gas pipeline, a liquefaction plant, an export terminal, a geothermal plant, renewable energy projects, and what will be Africa’s largest free trade zone, the Djibouti International Free Trade Zone. La politique du mouvement sioniste a revêtu après mai 1945 une « orientation française » visant à s’assurer le soutien de Paris. Organisant à la fois des envois sporadiques d'armes ainsi que vagues d’immigrations jugées illégales vers le mandat britannique, ils bénéficiaient d’une certaine complaisance de la part des autorités françaises. La France a eu longtemps une forte influence dans la région et plus globalement en Méditerranée, notamment en tant que puissance coloniale et mandataire[27]. En juillet, la monarchie irakienne était renversée par des officiers récusant le Pacte de Bagdad, tandis que des troupes américaines et britanniques étaient envoyées successivement à Beyrouth et en Jordanie. Malgré des efforts pour se présenter comme un acteur neutre, et l’insistance sur le droit d’Israël à se défendre, la France a formulé de sévères critiques de l’offensive israélienne contre le Hezbollah, qu’elle jugeait disproportionnée. C’est dans ce contexte du renouveau des relations franco-arabes que le général de Gaulle a conceptualisé une réorientation progressive de la politique française à l’égard de son allié israélien. À Paris, il était apparu évident qu’Israël représentait un partenaire en cas d’attaque contre l’Égypte, eu égard à l'état de belligérance. Tel. Cependant, des auteurs ont souligné que Ben Gourion considérait la France comme un « second choix » après les États-Unis[9] et que l'alliance franco-israélienne, dont la vocation était de combattre un ennemi commun à un moment donné, était une « alliance de combat »[3]. Le 18 novembre 1975, un accord fut ainsi signé avec l’Irak concernant la construction d’un réacteur nucléaire à Tamuz. Déjà en 1946, David Ben Gourion , d'autres membres de la Haganah, Yitzhak Shamir et des membres de l'Irgoun ou du Lehi avaient trouvé refuge à Paris après avoir été pourchassés par les Britanniques en Palestine[3]. Il n’est pas sans rappeler dans ce dernier cas, l’expulsion des conseillers soviétiques d’Égypte, en 1972, qui avait entraîné une réduction des livraisons d’armes en provenance de Moscou. Après plus d’un siècle de présence, elle se voyait ainsi amenée à se retirer du Liban et de la Syrie en 1946, notamment sous pression américaine. Ce renouveau de la politique arabe de la France vint progressivement à porter ses fruits en 1966, en effet à cette date, la plupart des pays arabes avaient rétabli leurs relations diplomatiques avec la France. Djibouti is a republic with a parliament and executive branch led by the President, who is elected every five years. Face à un Proche-Orient soumis à une structure bipolaire, la position française était guidée par un souci d’apparaître comme une puissance neutre. Des groupes français comme Thomson et Batignolles, ont ainsi remporté des offres de marché en Arabie saoudite (télécommunications) ainsi qu’en Syrie (aéroport de Damas), tandis que la Sogréah obtenait un contrat de construction de canaux d’irrigation pour l’Euphrate. Le fait qu'une partie des architectes de cette alliance se soient maintenus au pouvoir, ainsi que dans les différents niveaux de l’état-major, contribua à ce statu quo. USAID Djibouti Page La logique française consistait ainsi à créer une véritable politique européenne guidée par Paris et capable de trouver une solution aux problèmes du Proche-Orient. La diplomatie française soutenait en effet Arafat, refusant de le voir comme un responsable du terrorisme et des violences palestiniennes malgré l’implication de l’Autorité palestinienne dans de telles activités. Formal diplomatic relations between the United States and Republic of Djibouti began in 1977, […] Malgré cela, les divergences profondes entre la France et Israël ont raison de la proximité et de la sympathie affichées côté français. Pour autant, un certain de nombre de fonctionnaires français étaient opposés aux liens étroits entre les deux États car ils privilégiaient plutôt une « politique arabe » de la France.